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400 soldats de la paix sont tombĂ©s au champ de bataille en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo. Ce chiffre constitue 10% du nombre global des casques bleus tuĂ©s dans les missions de maintien de paix dans le monde ». Le directeur de la division de l’Information publique de la MONUSCO, Christophe Boulierac, l’a rĂ©vĂ©lĂ© mardi 17 mai 2022 au cours de la
Ce premier post » rĂ©flĂ©chi sans connaĂźtre le contenu du Monde en date de ce 19 aoĂ»t permet de rĂ©agir aux diffĂ©rents articles sur l’Afghanistan qui prĂ©sentent une vision du conflit me paraissant objective. Elle mĂ©rite cependant une rĂ©action diffĂ©rente venant d’un soldat-citoyen, sinon une position divergente face au sentiment gĂ©nĂ©ral exprimĂ©. En effet, Ă  chaque fois qu’un soldat français tombe au combat en Afghanistan, le dernier Ă  ce jour un lieutenant tuĂ© le 14 aoĂ»t 2011 par un tireur isolĂ©, nous avons droit Ă  plusieurs types de rĂ©actions La mĂ©diatisation macabre du niĂšme » mort ; Les honneurs peu convaincants rendus par la Nation dont la grande masse des citoyens continue sa vie quotidienne, certes bien compliquĂ©e aujourd’hui ; Les commentaires politiciens des pour » et des contre » l’engagement de la France en Afghanistan. Compter les morts au combat n’est pas Ă  mon sens rĂ©ellement une information mĂȘme si leur nombre augmente depuis le dĂ©but de l’annĂ©e car le combat s’est effectivement portĂ© dans la zone française. Quelque 74 morts depuis 2001 en Afghanistan soit 7 par an, est-ce effectivement une information lorsqu’il y a chaque annĂ©e 10 000 suicides en France soit plus de 100 000 depuis 2001 !, 4 000 morts sur les routes
 mĂȘme si les chiffres expriment des rĂ©alitĂ©s diffĂ©rentes. Dans la guerre en Afghanistan, l’information est que les soldats français combattent bien, que la mort et la blessure au combat sont des risques acceptĂ©s, qu’environ 50% d’entre eux le sont par des piĂšges et non par des affrontements directs face Ă  quelques centaines de combattants estimĂ©s. La mise en valeur des soldats français doit ĂȘtre au cƓur de l’information et non le fait qu’il y ait un ou plusieurs dĂ©cĂšs. Et ce n’est pas de la propagande ! Il est vrai que, peu Ă  peu, les honneurs rendus aux soldats tombĂ©s au combat retrouvent leur place dans le rituel rĂ©publicain et deviennent une source de rĂ©flexion sur le sens de la guerre menĂ©e. Le prĂ©sident Sarkozy est sans doute le prĂ©sident qui a Ă©tĂ© le plus confrontĂ© Ă  ces cĂ©rĂ©monies Ă©mouvantes et fortement mĂ©diatisĂ©es. PrĂ©sident au passĂ© militaire plutĂŽt terne, il a appris le rituel militaire et ses subtilitĂ©s hĂ©ritĂ©es d’une longue tradition historique. Il rend hommage aux soldats avec une vraie dignitĂ©, des mots justes et une grande sincĂ©ritĂ©. La diffusion par la tĂ©lĂ©vision permet aussi de rassembler de nombreux Français lors de ces cĂ©rĂ©monies et de le faire savoir Ă  l’échelle du monde mais est-ce suffisant ? Avant tout dĂ©bat, peu opportun en temps de guerre, le tĂ©moignage public de l’affection du peuple portĂ©e aux forces armĂ©es au retour des corps ne concerne aujourd’hui que peu de citoyens Ă  la grande diffĂ©rence des pays anglo-saxons. NĂ©anmoins et c’est tout Ă  fait louable, les mĂ©dias parlent peu Ă  peu de ces prĂ©sences anonymes sur le chemin de retour des dĂ©pouilles mortelles, prĂ©sences pourtant peu nombreuses malgrĂ© des dizaines d’associations d’anciens combattants ou d’anciens militaires qui revendiquent des centaines de milliers d’adhĂ©rents, un correspondant dĂ©fense » dans chaque commune
 Cet hommage de la Nation, hors dĂ©bat politicien, pourra cependant ĂȘtre fait collectivement avec plus de rĂ©flexions lors du 11 novembre qui devrait devenir la journĂ©e commĂ©morant les combattants de toutes les guerres. Le ministre de la dĂ©fense a annoncĂ© le 19 juillet 2011 rĂ©ponse Ă  une question parlementaire Ă©crite parue au Journal officiel qu’il soutiendra cette proposition de loi. Enfin et surtout, remarquons l’évolution des discours politiques. Hier, l’amalgame entre l’emploi des forces armĂ©es et les buts politiques Ă  atteindre faisait de l’ArmĂ©e la principale cible de toutes les critiques. Aujourd’hui, constatons que la classe politique fait bien la distinction entre une armĂ©e neutre politiquement et la mission qui lui est donnĂ©e par le gouvernement. Le soutien moral et public aux soldats par une grande partie des Ă©lus est un progrĂšs apprĂ©ciĂ©. La France n’a plus honte de ses guerres. Elle est fiĂšre de ces ses soldats qui sont allĂ©s jusqu’au bout de leur engagement. En revanche, la volontĂ© de l’ennemi Ă  faire de cette guerre une dĂ©faite pour nos forces a Ă©tĂ© renforcĂ©e par la rĂ©clamation permanente Ă  chaque tuĂ© du dĂ©part des troupes d’Afghanistan qui a sans doute conduit Ă  l’annonce du retrait d’une partie du contingent. Sur ce point, je regrette seulement que la concentration de nos forces en Afghanistan soit obĂ©rĂ©e. On peut le comprendre en politique intĂ©rieure, pas vraiment en efficacitĂ© opĂ©rationnelle. Une armĂ©e française rentrant d’Afghanistan sans avoir obtenu le succĂšs, sans pouvoir justifier les pertes en morts et en blessĂ©s, avec le sentiment enfin d’un travail inachevĂ© ne pourrait qu’amener une grande amertume parmi nos professionnels. Certes le glaive cĂšde Ă  la toge
 Aucun doute ne doit donc exister sur la position française et sur la fermetĂ© de l’engagement de la France dans un conflit qui, comme d’autres, dĂ©passe le simple calendrier Ă©lectoral. Aucun commentaire ne doit donc fragiliser l’engagement militaire de nos forces confrontĂ©es Ă  un ennemi dont l’objectif n’est pas de gagner sur le terrain – il n’en a pas les moyens – mais de frapper les imaginations par des actions spectaculaires, au bon moment justement du calendrier, pour bien communiquer », en vue d’influencer nos opinions publiques et donc nos politiques. Tuer un soldat français – comme un soldat amĂ©ricain – n’est pas seulement un acte de guerre mais aussi, sinon avant tout, une action d’influence. Evoquons donc avec fiertĂ© l’engagement de nos soldats. Assumons avec fermetĂ© et collectivement la guerre choisie qui est menĂ©e et bien menĂ©e. Soutenons avec rĂ©solution nos combattants et leurs familles en honorant nos morts par le souvenir mais aussi en n’oubliant pas nos nombreux blessĂ©s bien plus discrets. François CHAUVANCYSaint-cyrien, brevetĂ© de l’École de guerre, docteur en sciences de l’information et de la communication CELSA, titulaire d’un troisiĂšme cycle en relations internationales de la facultĂ© de droit de Sceaux, le gĂ©nĂ©ral 2S François CHAUVANCY a servi dans l’armĂ©e de Terre au sein des unitĂ©s blindĂ©es des troupes de marine. Il a quittĂ© le service actif en 2014. Il est expert des questions de doctrine sur l’emploi des forces, sur les fonctions ayant trait Ă  la formation des armĂ©es Ă©trangĂšres, Ă  la contre-insurrection et aux opĂ©rations sur l’information. A ce titre, il a Ă©tĂ© responsable national de la France auprĂšs de l’OTAN dans les groupes de travail sur la communication stratĂ©gique, les opĂ©rations sur l’information et les opĂ©rations psychologiques de 2005 Ă  2012. Il a servi au Kosovo, en Albanie, en ex-Yougoslavie, au Kosovo, aux Émirats arabes unis, au Liban et Ă  plusieurs reprises en RĂ©publique de CĂŽte d’Ivoire oĂč, sous l’uniforme ivoirien, il a notamment formĂ© pendant deux ans dans ce cadre une partie des officiers de l’Afrique de l’ouest francophone. Il est chargĂ© de cours sur les questions de dĂ©fense et sur la stratĂ©gie d’influence et de propagande dans plusieurs universitĂ©s. Il est l’auteur depuis 1988 de nombreux articles sur l’influence, la politique de dĂ©fense, la stratĂ©gie, le militaire et la sociĂ©tĂ© civile. Coauteur ou auteur de diffĂ©rents ouvrages de stratĂ©gie et gĂ©opolitique., son dernier ouvrage traduit en anglais et en arabe a Ă©tĂ© publiĂ© en septembre 2018 sous le titre Blocus du Qatar l’offensive manquĂ©e. Guerre de l’information, jeux d'influence, affrontement Ă©conomique ». Il a reçu le Prix 2010 de la fondation MarĂ©chal Leclerc pour l’ensemble des articles rĂ©alisĂ©s Ă  cette Ă©poque. Il est consultant rĂ©gulier depuis 2016 sur les questions militaires au Moyen-Orient auprĂšs de Radio MĂ©diterranĂ©e Internationale. Depuis mars 2022, il est consultant en gĂ©opolitique sur LCI notamment sur la guerre en Ukraine. Animateur du blog DĂ©fense et SĂ©curitĂ© » sur le site du Monde depuis aoĂ»t 2011, il a rejoint depuis mai 2019 l’équipe de Theatrum Belli. PourMarc Staszak, le constat est amer : « On m’a envoyĂ© au combat. L'État m’a envoyĂ© au combat, et aujourd’hui, ce sont des associations qui s’occupent des blessĂ©s ». Le dĂ©bat sur le stress post-traumatique des soldats est en replay ici. PubliĂ© le : 30/07/2021 Ă  10:51 - Mis Ă  jour le : 30/07/2021 Ă  11:08 . ArmĂ©e. SantĂ©. Partage . Facebook Twitter Email. Abonnez-vous Ă  la 296 669 475 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidĂ©osEntrepriseSĂ©lectionsPanierBonjour!CrĂ©er un compteSĂ©lectionsNous contacterSĂ©lectionsPartagez des images Alamy avec votre Ă©quipe et vos clientsCrĂ©er une sĂ©lection â€șEntrepriseTrouvez le contenu adaptĂ© pour votre marchĂ©. DĂ©couvrez comment vous pouvez collaborer avec EntrepriseÉducationJeuxMusĂ©esLivres spĂ©cialisĂ©sVoyagesTĂ©lĂ©vision et cinĂ©maRĂ©servez une dĂ©monstrationRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidĂ©osFiltresUtah army national guard Photos Stock & Des Images0
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Lesressortissants des rĂ©gions Ă  majoritĂ© musulmane et des rĂ©gions les plus pauvres du pays (ce sont souvent les mĂȘmes) sont surreprĂ©sentĂ©s au sein de l'armĂ©e russe qui combat en Ukraine
C’est avant de partir en opĂ©ration extĂ©rieure que les soldats acquiĂšrent les gestes qui sauvent. La prĂ©paration opĂ©rationnelle au sauvetage au combat, c’est pour tous les combattants le minimum vital pour rester opĂ©rationnel. Voici comment ça se passe, en vidĂ©o !Dans ce reportage vidĂ©o, on va pouvoir suivre les soldats du 8Ăšme RPIMa au cours de leur prĂ©paration opĂ©rationnelle au sauvetage de combat. Mais au-delĂ  de la mise en Ɠuvre de gestes de secourisme, cette opĂ©ration doit intĂ©grer des conditions militaires d’engagement Le travail de l’unitĂ© qui a Ă©tĂ© prise Ă  partie, explique un officier du 8Ăšme RPIMa, c’est d’abord de sĂ©curiser la zone et de s’assurer qu’on ne va pas appliquer de tirs supplĂ©mentaires c’est le syndrome du sur-accident » Pour ces militaires engagĂ©s sur le terrain, les gestes qui sauvent ainsi que l’extraction des blessĂ©s s’opĂšrent en tenant compte d’impĂ©ratifs tactiques et des rĂšgles d’engagement. Pour les forces adverses, faire des blessĂ©s est une meilleure opportunitĂ© que de tuer des soldats d’une unitĂ© au combat les cris et les appels Ă  l’aide, l’arrivĂ©e des secours et la prise en charge de ces personnels touchĂ©s sont susceptibles de crĂ©er une situation de panique et mobilise en tout cas l’ensemble des effectifs en opĂ©ration, plus tous les personnels mĂ©dicaux et de soutien. Le sauvetage au combat rĂ©clame donc un grand professionnalisme de la part des soldats, afin d’éviter de retarder le dĂ©roulement de l’opĂ©ration L’intĂ©gralitĂ© des personnel est formĂ©e SC1 sauvetage au combat niveau 1, et ensuite dans chaque compagnie vous avez 1 auxiliaire sanitaire par section, plus 1 supplĂ©mentaire pour la compagnie ».Dans cette vidĂ©o, on voit la simulation d’une embuscade depuis la prise Ă  partie d’une section jusqu’à l’évacuation de 2 blessĂ©s en camion militaire. Les soldats blessĂ©s sont en rĂ©alitĂ© grimĂ©s, et ils sont pris en charge aprĂšs avoir simulĂ© une blessure par balles ou par le souffle d’une explosion. On observe les gestes tactiques et de sauvetage effectuĂ©s par des soldats de la section, ainsi que par les auxiliaires sanitaires prĂ©sents sur le terrain On est lĂ  pour faire le pont entre le terrain et le mĂ©decin, et produire des gestes qui ne sont pas forcĂ©ment Ă  la portĂ©e de tout combattant, explique un auxiliaire sanitaire du 8Ăšme RPIMa, car ils ont dĂ©jĂ  suffisamment de choses Ă  savoir de leur cĂŽtĂ© ». Commentez cet article, ou faites un rĂ©trolien depuis votre propre blog. AprĂšsle choc, l'heure est dĂ©sormais au deuil et au recueillement. Un hommage national sera rendu le 2 dĂ©cembre pour les treize soldats français morts au
De Recherche et dĂ©veloppement pour la dĂ©fense Canada Le 30 septembre 2014 Les menaces ennemies et les opĂ©rations de contre-ingĂ©rence ont considĂ©rablement accru l’importance de l’équipement de protection individuelle EPI des soldats et de son rĂŽle essentiel en vue d’accroĂźtre la capacitĂ© de survie et de mener Ă  bien les missions. L’équipement des soldats appelĂ© ensemble offre une protection essentielle. Il contribue toutefois Ă  accroĂźtre le fardeau des soldats, car il s’ajoute aux lourdes charges qu’ils doivent transporter, et peut nuire Ă  leur aptitude Ă  exĂ©cuter des manƓuvres tactiques et Ă  accomplir des tĂąches essentielles Ă  la mission. Des chercheurs de Recherche et dĂ©veloppement pour la dĂ©fense Canada RDDC veulent comprendre comment le poids, le volume, la surface couverte et la rigiditĂ© associĂ©s aux ensembles affectent l’exĂ©cution de tĂąches opĂ©rationnelles et ultimement la capacitĂ© de survie. Pour rĂ©pondre Ă  cette question, RDDC utilise le parcours d’évaluation de la mobilitĂ© du Programme canadien d’évaluation des effets des charges PCEEC situĂ© au Centre de recherches de Toronto pour Ă©tudier les mouvements de combat avec diffĂ©rentes charges. Les chercheurs observent et mesurent les mouvements des sujets se dĂ©plaçant sur le parcours sans Ă©quipement ou avec un Ă©quipement dont les niveaux de charge critique comme le poids, le volume, la surface couverte et la rigiditĂ© varient. Le parcours comporte une sĂ©rie de 10 obstacles physiques minutĂ©s, comme des poutres d’équilibre, des escaliers, des Ă©chelles et des tunnels, puis trois stations distinctes oĂč des tĂąches, notamment l’adresse au tir et le transfert de poids, doivent ĂȘtre exĂ©cutĂ©es. Ces stations et ces obstacles sont reprĂ©sentatifs des tĂąches de combat rĂ©elles. De plus, diffĂ©rents essais liĂ©s aux caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©rales des ensembles et des participants sont effectuĂ©s pour quantifier de nombreux facteurs qui contribuent au rendement [scanneurs corporels tridimensionnels 3-D pour ce qui est du volume, amplitude des mouvements en ce qui a trait Ă  la rigiditĂ©, niveau de condition physique des participants, etc.]. Les rĂ©sultats seront ajoutĂ©s aux outils de modĂ©lisation de combat pour aider Ă  dĂ©terminer l’incidence du rendement sur les rĂ©sultats des missions. Ce programme et ses rĂ©sultats aideront Ă  dĂ©finir les exigences relatives Ă  l’ensemble que portent les soldats ainsi qu’à mettre Ă  l’essai des mĂ©thodes que les Forces armĂ©es canadiennes pourraient employer pour acquĂ©rir des capacitĂ©s et de l’équipement Ă  l’avenir. De plus, ces expĂ©riences soutiennent l’industrie quant Ă  la conception des ensembles futurs. Les rĂ©sultats contribueront aussi au dĂ©veloppement d’outils aidant les commandants opĂ©rationnels Ă  prendre des dĂ©cisions sur l’utilisation optimale de la protection ou de la distribution des charges afin de maximiser le rendement des soldats et la capacitĂ© de survie dans le cadre de missions, de tĂąches et de conditions prĂ©cises. L’ArmĂ©e canadienne prend trĂšs au sĂ©rieux la protection de ses soldats », a indiquĂ© le lieutenant-gĂ©nĂ©ral Marquis Hainse, commandant de l’ArmĂ©e canadienne, lors de sa visite du parcours du PCEEC au dĂ©but de l’annĂ©e. Nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă  nous assurer que la conception des vĂȘtements et de l’équipement des soldats soit validĂ©e par des recherches scientifiques et des essais rigoureux. La sĂ©curitĂ© de nos militaires est de la plus haute importance. » GrĂące Ă  cette recherche, le Canada contribue Ă  un effort multinational visant Ă  modĂ©liser l’efficacitĂ© au combat ainsi que les incidences de la charge des soldats sur la capacitĂ© de survie. Ainsi, les efforts d’évaluation de l’équipement du Canada cadreront avec ceux de nos alliĂ©s.
Retracerl’itinĂ©raire d'un soldat n'est plus le "parcours du combattant" d'il y a quelques annĂ©es ! GrĂące aux nombreuses archives numĂ©risĂ©es, on peut espĂ©rer retrouver des informations facilement. NĂ©anmoins, les sources sont nombreuses, et trĂšs diffĂ©rentes selon les Ă©poques. Dans tous les cas, la mĂ©thode est la mĂȘme.
PubliĂ© le mardi 16 aoĂ»t 2022 Ă  08h57 Un habitant de Trostyanets observe ce qu'il reste d'un char russe Msta-S. Ils sont quelques centaines, voire des milliers. Des "refuzniks" russes qui refusent de combattre plus longtemps et sont emprisonnĂ©s, voire torturĂ©s selon le pĂšre de l'un d'entre eux. Certains seraient Ă©galement renvoyĂ©s au combat. Ces derniers temps, l'armĂ©e russe semble Ă  la peine en Ukraine ses avancĂ©es dans le Donbass sont particuliĂšrement lentes et couteuses en hommes et en matĂ©riel. Et manifestement elle peine Ă  recruter des combattants, d'autant que dĂ©sertions et refus de combattre semblent se multiplier. "Je rĂ©soudrai le problĂšme par mes propres efforts, je parlerai Ă  ces militaires qui sont responsables. C'est mon fils. Je ne partirai pas sans lui" cela fait plusieurs semaines maintenant que Maxime*, la cinquantaine, erre entre les unitĂ©s disparates de l'armĂ©e russe engagĂ©es en Ukraine, dans la rĂ©gion de Louhansk oĂč son fils Youri*, 26 ans a disparu. Il n'est pas mort au combat, n'a pas Ă©tĂ© blessĂ© non plus, il a simplement refusĂ© de poursuivre l'offensive entamĂ©e par Moscou le 24 fĂ©vrier dernier. Depuis, il ne donne plus signe de vie. Des soldats emprisonnĂ©s et "torturĂ©s"Youri Ă©tait un militaire d'active, un lieutenant affectĂ© Ă  une unitĂ© basĂ©e sur l'Ăźle de Sakhaline sur le Pacifique, dans l'ExtrĂȘme-Orient russe. En avril, son unitĂ© se retrouve engagĂ©e en Ukraine, dans la bataille d'Izium, au sud de Kharkiv. Izium est un point nĂ©vralgique qui commande les axes de communication vers le Donbass. La bataille est rude, les Ukrainiens se dĂ©fendent d'arrache-pied, les Russes finalement prennent Izium, au prix de lourdes pertes. En juin le jeune lieutenant dĂ©cide de jeter l'Ă©ponge et refuse de combattre plus longtemps. Il est immĂ©diatement mis aux arrĂȘts, avec d'autres soldats russes de son unitĂ© tout aussi rĂ©fractaires, incarcĂ©rĂ©s Ă  Bryanka, une prison dans la rĂ©gion de Louhansk. Il parvient tout de mĂȘme Ă  joindre son pĂšre au tĂ©lĂ©phone, qui raconte "Il m'a parlĂ© de tortures, il a dit qu'ils Ă©taient torturĂ©s. Je l'avais dĂ©jĂ  compris en parlant avec les parents d'autres militaires". Aux dires de Youri, les rĂ©fractaires sont rĂ©guliĂšrement battus et ligotĂ©s Ă  mĂȘme le sol. Il y a mĂȘme des simulacres d'exĂ©cution. "Beaucoup de ceux qui sont passĂ©s par lĂ  m'ont dit qu'ils n'auraient jamais pu imaginer une telle chose, que leur propre pays pouvait les traiter de cette façon" , raconte encore Maxime. Les rĂ©fractaires sont maintenus en dĂ©tention pendant quelque temps, puis transfĂ©rĂ©s "Ils sont exfiltrĂ©s vers des destinations inconnues... Pourquoi ? Je pense que c'est clair, pour qu'ils ne puissent rien raconter de ce qui s'est passĂ© dans les prisons. Ils ne sont pas renvoyĂ©s dans les unitĂ©s oĂč ils servaient auparavant mais dans des unitĂ©s spĂ©ciales, dans les zones du front oĂč l'armĂ©e subit le plus de pertes. Je crois qu'on ne veut pas qu'ils en sortent vivants". Certaines unitĂ©s russes semblent de fait avoir Ă©tĂ© condamnĂ©es dans leur ensemble, comme la tristement cĂ©lĂšbre 64Ăšme Brigade motorisĂ©e de gardes-fusiliers, probablement responsable des exactions contre les civils de Boutcha, lors de la bataille de Kiev. L'unitĂ©, bien que dĂ©corĂ©e par Vladimir Poutine, a Ă©tĂ© immĂ©diatement rĂ©introduite dans la bataille en Ukraine aprĂšs son Ă©vacuation des faubourgs de Kiev. Ses pertes ont Ă©tĂ© telles dans le Donbass ukrainien que certains Ă©voquent dorĂ©navant sa probable dissolution. Des rĂ©fractaires renvoyĂ©s au combatLes pertes, en hommes comme en matĂ©riels, sont manifestement suffisantes pour que l'Etat-major russe ait dĂ©cidĂ© de recomposer complĂštement certaines unitĂ©s, fourbissant de bric et de broc des sections n'ayant aucune expĂ©rience avec d'autres plus aguerries. Youri, le fils de Maxime, s'est vraisemblablement retrouvĂ© rĂ©-enrĂŽlĂ© de force dans l'une de ces unitĂ©s "Il a Ă©tĂ© emmenĂ© Ă  la prison de Perevalsk , oĂč les hommes du groupe Wagner ont dit qu'ils avaient besoin de lui parce que c'Ă©tait un spĂ©cialiste - Youri est tireur d'Ă©lite - il ne pouvait pas refuser, alors il est reparti" au combat. Maxime a fait le trajet jusqu'en Ukraine, jusqu'Ă  la province de Louhansk pour tenter de retrouver son fils, sans doute effectivement rĂ©engagĂ© dans les combats malgrĂ© lui. Combien sont-ils ces rĂ©fractaires de l'armĂ©e russe ? Au moins plusieurs centaines, peut-ĂȘtre mĂȘme plusieurs milliers. En juin et juillet, deux unitĂ©s prĂ©sentes dans le Donbass ukrainien, la 205Ăšme Brigade Cosaque de Fusiliers motorisĂ©e et la 11Ăšme Brigade d'assaut aĂ©roportĂ©e, environ un millier d'hommes chacune, ont fait Ă©tat en tout de plus de 378 soldats , sous officiers, et officiers rĂ©fractaires, qui refusaient de poursuivre le combat en Ukraine. *Les prĂ©noms ont Ă©tĂ© modifiĂ©s
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