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Lesressortissants des rĂ©gions Ă majoritĂ© musulmane et des rĂ©gions les plus pauvres du pays (ce sont souvent les mĂȘmes) sont surreprĂ©sentĂ©s au sein de l'armĂ©e russe qui combat en UkraineCâest avant de partir en opĂ©ration extĂ©rieure que les soldats acquiĂšrent les gestes qui sauvent. La prĂ©paration opĂ©rationnelle au sauvetage au combat, câest pour tous les combattants le minimum vital pour rester opĂ©rationnel. Voici comment ça se passe, en vidĂ©o !Dans ce reportage vidĂ©o, on va pouvoir suivre les soldats du 8Ăšme RPIMa au cours de leur prĂ©paration opĂ©rationnelle au sauvetage de combat. Mais au-delĂ de la mise en Ćuvre de gestes de secourisme, cette opĂ©ration doit intĂ©grer des conditions militaires dâengagement Le travail de lâunitĂ© qui a Ă©tĂ© prise Ă partie, explique un officier du 8Ăšme RPIMa, câest dâabord de sĂ©curiser la zone et de sâassurer quâon ne va pas appliquer de tirs supplĂ©mentaires câest le syndrome du sur-accident »âŠPour ces militaires engagĂ©s sur le terrain, les gestes qui sauvent ainsi que lâextraction des blessĂ©s sâopĂšrent en tenant compte dâimpĂ©ratifs tactiques et des rĂšgles dâengagement. Pour les forces adverses, faire des blessĂ©s est une meilleure opportunitĂ© que de tuer des soldats dâune unitĂ© au combat les cris et les appels Ă lâaide, lâarrivĂ©e des secours et la prise en charge de ces personnels touchĂ©s sont susceptibles de crĂ©er une situation de panique et mobilise en tout cas lâensemble des effectifs en opĂ©ration, plus tous les personnels mĂ©dicaux et de soutien. Le sauvetage au combat rĂ©clame donc un grand professionnalisme de la part des soldats, afin dâĂ©viter de retarder le dĂ©roulement de lâopĂ©ration LâintĂ©gralitĂ© des personnel est formĂ©e SC1 sauvetage au combat niveau 1, et ensuite dans chaque compagnie vous avez 1 auxiliaire sanitaire par section, plus 1 supplĂ©mentaire pour la compagnie ».Dans cette vidĂ©o, on voit la simulation dâune embuscade depuis la prise Ă partie dâune section jusquâĂ lâĂ©vacuation de 2 blessĂ©s en camion militaire. Les soldats blessĂ©s sont en rĂ©alitĂ© grimĂ©s, et ils sont pris en charge aprĂšs avoir simulĂ© une blessure par balles ou par le souffle dâune explosion. On observe les gestes tactiques et de sauvetage effectuĂ©s par des soldats de la section, ainsi que par les auxiliaires sanitaires prĂ©sents sur le terrain On est lĂ pour faire le pont entre le terrain et le mĂ©decin, et produire des gestes qui ne sont pas forcĂ©ment Ă la portĂ©e de tout combattant, explique un auxiliaire sanitaire du 8Ăšme RPIMa, car ils ont dĂ©jĂ suffisamment de choses Ă savoir de leur cĂŽtĂ© ». Commentez cet article, ou faites un rĂ©trolien depuis votre propre blog. AprĂšsle choc, l'heure est dĂ©sormais au deuil et au recueillement. Un hommage national sera rendu le 2 dĂ©cembre pour les treize soldats français morts au
De Recherche et dĂ©veloppement pour la dĂ©fense Canada Le 30 septembre 2014 Les menaces ennemies et les opĂ©rations de contre-ingĂ©rence ont considĂ©rablement accru lâimportance de lâĂ©quipement de protection individuelle EPI des soldats et de son rĂŽle essentiel en vue dâaccroĂźtre la capacitĂ© de survie et de mener Ă bien les missions. LâĂ©quipement des soldats appelĂ© ensemble offre une protection essentielle. Il contribue toutefois Ă accroĂźtre le fardeau des soldats, car il sâajoute aux lourdes charges quâils doivent transporter, et peut nuire Ă leur aptitude Ă exĂ©cuter des manĆuvres tactiques et Ă accomplir des tĂąches essentielles Ă la mission. Des chercheurs de Recherche et dĂ©veloppement pour la dĂ©fense Canada RDDC veulent comprendre comment le poids, le volume, la surface couverte et la rigiditĂ© associĂ©s aux ensembles affectent lâexĂ©cution de tĂąches opĂ©rationnelles et ultimement la capacitĂ© de survie. Pour rĂ©pondre Ă cette question, RDDC utilise le parcours dâĂ©valuation de la mobilitĂ© du Programme canadien dâĂ©valuation des effets des charges PCEEC situĂ© au Centre de recherches de Toronto pour Ă©tudier les mouvements de combat avec diffĂ©rentes charges. Les chercheurs observent et mesurent les mouvements des sujets se dĂ©plaçant sur le parcours sans Ă©quipement ou avec un Ă©quipement dont les niveaux de charge critique comme le poids, le volume, la surface couverte et la rigiditĂ© varient. Le parcours comporte une sĂ©rie de 10 obstacles physiques minutĂ©s, comme des poutres dâĂ©quilibre, des escaliers, des Ă©chelles et des tunnels, puis trois stations distinctes oĂč des tĂąches, notamment lâadresse au tir et le transfert de poids, doivent ĂȘtre exĂ©cutĂ©es. Ces stations et ces obstacles sont reprĂ©sentatifs des tĂąches de combat rĂ©elles. De plus, diffĂ©rents essais liĂ©s aux caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©rales des ensembles et des participants sont effectuĂ©s pour quantifier de nombreux facteurs qui contribuent au rendement [scanneurs corporels tridimensionnels 3-D pour ce qui est du volume, amplitude des mouvements en ce qui a trait Ă la rigiditĂ©, niveau de condition physique des participants, etc.]. Les rĂ©sultats seront ajoutĂ©s aux outils de modĂ©lisation de combat pour aider Ă dĂ©terminer lâincidence du rendement sur les rĂ©sultats des missions. Ce programme et ses rĂ©sultats aideront Ă dĂ©finir les exigences relatives Ă lâensemble que portent les soldats ainsi quâĂ mettre Ă lâessai des mĂ©thodes que les Forces armĂ©es canadiennes pourraient employer pour acquĂ©rir des capacitĂ©s et de lâĂ©quipement Ă lâavenir. De plus, ces expĂ©riences soutiennent lâindustrie quant Ă la conception des ensembles futurs. Les rĂ©sultats contribueront aussi au dĂ©veloppement dâoutils aidant les commandants opĂ©rationnels Ă prendre des dĂ©cisions sur lâutilisation optimale de la protection ou de la distribution des charges afin de maximiser le rendement des soldats et la capacitĂ© de survie dans le cadre de missions, de tĂąches et de conditions prĂ©cises. LâArmĂ©e canadienne prend trĂšs au sĂ©rieux la protection de ses soldats », a indiquĂ© le lieutenant-gĂ©nĂ©ral Marquis Hainse, commandant de lâArmĂ©e canadienne, lors de sa visite du parcours du PCEEC au dĂ©but de lâannĂ©e. Nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă nous assurer que la conception des vĂȘtements et de lâĂ©quipement des soldats soit validĂ©e par des recherches scientifiques et des essais rigoureux. La sĂ©curitĂ© de nos militaires est de la plus haute importance. » GrĂące Ă cette recherche, le Canada contribue Ă un effort multinational visant Ă modĂ©liser lâefficacitĂ© au combat ainsi que les incidences de la charge des soldats sur la capacitĂ© de survie. Ainsi, les efforts dâĂ©valuation de lâĂ©quipement du Canada cadreront avec ceux de nos alliĂ©s.
RetracerlâitinĂ©raire d'un soldat n'est plus le "parcours du combattant" d'il y a quelques annĂ©es ! GrĂące aux nombreuses archives numĂ©risĂ©es, on peut espĂ©rer retrouver des informations facilement. NĂ©anmoins, les sources sont nombreuses, et trĂšs diffĂ©rentes selon les Ă©poques. Dans tous les cas, la mĂ©thode est la mĂȘme.
PubliĂ© le mardi 16 aoĂ»t 2022 Ă 08h57 Un habitant de Trostyanets observe ce qu'il reste d'un char russe Msta-S. Ils sont quelques centaines, voire des milliers. Des "refuzniks" russes qui refusent de combattre plus longtemps et sont emprisonnĂ©s, voire torturĂ©s selon le pĂšre de l'un d'entre eux. Certains seraient Ă©galement renvoyĂ©s au combat. Ces derniers temps, l'armĂ©e russe semble Ă la peine en Ukraine ses avancĂ©es dans le Donbass sont particuliĂšrement lentes et couteuses en hommes et en matĂ©riel. Et manifestement elle peine Ă recruter des combattants, d'autant que dĂ©sertions et refus de combattre semblent se multiplier. "Je rĂ©soudrai le problĂšme par mes propres efforts, je parlerai Ă ces militaires qui sont responsables. C'est mon fils. Je ne partirai pas sans lui" cela fait plusieurs semaines maintenant que Maxime*, la cinquantaine, erre entre les unitĂ©s disparates de l'armĂ©e russe engagĂ©es en Ukraine, dans la rĂ©gion de Louhansk oĂč son fils Youri*, 26 ans a disparu. Il n'est pas mort au combat, n'a pas Ă©tĂ© blessĂ© non plus, il a simplement refusĂ© de poursuivre l'offensive entamĂ©e par Moscou le 24 fĂ©vrier dernier. Depuis, il ne donne plus signe de vie. Des soldats emprisonnĂ©s et "torturĂ©s"Youri Ă©tait un militaire d'active, un lieutenant affectĂ© Ă une unitĂ© basĂ©e sur l'Ăźle de Sakhaline sur le Pacifique, dans l'ExtrĂȘme-Orient russe. En avril, son unitĂ© se retrouve engagĂ©e en Ukraine, dans la bataille d'Izium, au sud de Kharkiv. Izium est un point nĂ©vralgique qui commande les axes de communication vers le Donbass. La bataille est rude, les Ukrainiens se dĂ©fendent d'arrache-pied, les Russes finalement prennent Izium, au prix de lourdes pertes. En juin le jeune lieutenant dĂ©cide de jeter l'Ă©ponge et refuse de combattre plus longtemps. Il est immĂ©diatement mis aux arrĂȘts, avec d'autres soldats russes de son unitĂ© tout aussi rĂ©fractaires, incarcĂ©rĂ©s Ă Bryanka, une prison dans la rĂ©gion de Louhansk. Il parvient tout de mĂȘme Ă joindre son pĂšre au tĂ©lĂ©phone, qui raconte "Il m'a parlĂ© de tortures, il a dit qu'ils Ă©taient torturĂ©s. Je l'avais dĂ©jĂ compris en parlant avec les parents d'autres militaires". Aux dires de Youri, les rĂ©fractaires sont rĂ©guliĂšrement battus et ligotĂ©s Ă mĂȘme le sol. Il y a mĂȘme des simulacres d'exĂ©cution. "Beaucoup de ceux qui sont passĂ©s par lĂ m'ont dit qu'ils n'auraient jamais pu imaginer une telle chose, que leur propre pays pouvait les traiter de cette façon" , raconte encore Maxime. Les rĂ©fractaires sont maintenus en dĂ©tention pendant quelque temps, puis transfĂ©rĂ©s "Ils sont exfiltrĂ©s vers des destinations inconnues... Pourquoi ? Je pense que c'est clair, pour qu'ils ne puissent rien raconter de ce qui s'est passĂ© dans les prisons. Ils ne sont pas renvoyĂ©s dans les unitĂ©s oĂč ils servaient auparavant mais dans des unitĂ©s spĂ©ciales, dans les zones du front oĂč l'armĂ©e subit le plus de pertes. Je crois qu'on ne veut pas qu'ils en sortent vivants". Certaines unitĂ©s russes semblent de fait avoir Ă©tĂ© condamnĂ©es dans leur ensemble, comme la tristement cĂ©lĂšbre 64Ăšme Brigade motorisĂ©e de gardes-fusiliers, probablement responsable des exactions contre les civils de Boutcha, lors de la bataille de Kiev. L'unitĂ©, bien que dĂ©corĂ©e par Vladimir Poutine, a Ă©tĂ© immĂ©diatement rĂ©introduite dans la bataille en Ukraine aprĂšs son Ă©vacuation des faubourgs de Kiev. Ses pertes ont Ă©tĂ© telles dans le Donbass ukrainien que certains Ă©voquent dorĂ©navant sa probable dissolution. Des rĂ©fractaires renvoyĂ©s au combatLes pertes, en hommes comme en matĂ©riels, sont manifestement suffisantes pour que l'Etat-major russe ait dĂ©cidĂ© de recomposer complĂštement certaines unitĂ©s, fourbissant de bric et de broc des sections n'ayant aucune expĂ©rience avec d'autres plus aguerries. Youri, le fils de Maxime, s'est vraisemblablement retrouvĂ© rĂ©-enrĂŽlĂ© de force dans l'une de ces unitĂ©s "Il a Ă©tĂ© emmenĂ© Ă la prison de Perevalsk , oĂč les hommes du groupe Wagner ont dit qu'ils avaient besoin de lui parce que c'Ă©tait un spĂ©cialiste - Youri est tireur d'Ă©lite - il ne pouvait pas refuser, alors il est reparti" au combat. Maxime a fait le trajet jusqu'en Ukraine, jusqu'Ă la province de Louhansk pour tenter de retrouver son fils, sans doute effectivement rĂ©engagĂ© dans les combats malgrĂ© lui. Combien sont-ils ces rĂ©fractaires de l'armĂ©e russe ? Au moins plusieurs centaines, peut-ĂȘtre mĂȘme plusieurs milliers. En juin et juillet, deux unitĂ©s prĂ©sentes dans le Donbass ukrainien, la 205Ăšme Brigade Cosaque de Fusiliers motorisĂ©e et la 11Ăšme Brigade d'assaut aĂ©roportĂ©e, environ un millier d'hommes chacune, ont fait Ă©tat en tout de plus de 378 soldats , sous officiers, et officiers rĂ©fractaires, qui refusaient de poursuivre le combat en Ukraine. *Les prĂ©noms ont Ă©tĂ© modifiĂ©s
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